Nombre total de pages vues

jeudi, janvier 04, 2018

Journal d'un plumtif...

Faites le Gilles, pas la gueule!

Je ne sais pas vous, mais moi...
Pardon?
Cela vous fait sourire ma manière de commencer la plupart des textes de ce blog? Et bien, tant mieux! Souriez, la grimace est plus belle!

Cette pré-signature me vient de la manière dont je commençais mes chroniques-revues de presse pour la radio Charleking Radio (FM 106.5 ou radiocharleking.be). Je les terminais d'ailleurs aussi toujours d'une autre même manière. Vous lirez ci-dessous...

Je ne sais pas vous, c'est histoire de dire que les propos qui suivent n'engagent que moi, que je n'ai pas la prétention de parler pour les autres mais aussi une invitation à s'exprimer lancée à chacun et à tous.

Bref, tout cela non pas pour me justifier mais bien pour faire sourire, rire celles et ceux qui, en utilisant cette même expression,
disent penser à moi ou du moins à mes bafouilles de ce blog ou de la radio.
Et ma foi, c'est déjà pas si mal!

Les fêtes de fin d'année étant derrière nous (tiens, j'en profite pour vous souhaiter tous mes voeux pour 2018, qu'elle ne fasse pas Pschiiit!), un des prochains rendez-vous pour retrouver la bosse des festivités, et de se parer d'un large sourire collectif, ce sera le Carnaval.
Chez nous, en Belgique, le Carnaval évoque bien des folkores, selon les régions et les traditions. Mais à tout seigneur tout honneur, le roi du Carnaval est bien le Gilles.

Alors, à l'heure où nous avons bien du mal à trouver des raisons de nous réjouir, ne ratons pas une occasion d'arborer un masque souriant plutôt que de faire triste mine. Alors, littéralement ou pas, faisons le Gilles plutôt que la gueule!
Car n'oubliez pas: si on n'est pas responsable de la tête que l'on a, on est coupable de la gueule que l'on fait!

Et pour paraphraser une amie: Créez votre espace frais de liberté et un horizon sans nuages nostalgiques! Elle se reconnaîtra...

Une autre manière de faire de notre vie une oeuvre d'art!

Que votre année soit belle... et rebelle!
Texte et photo:
Yvan Scoys

Aucun commentaire: