Ne jamais oublier de dire...

Ne jamais oublier de dire ce que vous ressentez aux gens qui comptent pour vous. Dites-vous qu'il se pourrait que vous n'ayez pas une autre occasion de le faire. Ce n'est pas un conseil. Qui suis-je pour donner des conseils? C'est juste une envie de ma part. Un besoin qui s'est avéré au fil des rencontres. Celles qui ont été manquées, l'ont été parce que j'ai pensé que j'avais tout le temps de dire mes émotions aux personnes croisées. Pour un jour, un mois, un an, une vie...

Que cela fasse plaisir ou flipper les personnes qui reçoivent ce que j'ai à leur dire, je me dois de leur dire. Pas que cela m'importe peu ce qu'ils ressentent. Mais parce que je pense cela important. Et à terme, j'ose croire que cela leur importe également. Et puis, s'ils ne sont pas prêts à entendre ce que je veux leur dire, rien ne pourra leur arriver de fâcheux. Mais par contre, si cela les touche, leur vie, j'ose l'espérer, en sera sinon bouleversée, au moins transformée. Du moins, le regard qu'il porte sur leur vie. Si des questions surgissent, c'est bien. Peu importe les réponses. Peu importe même qu'il y ait des réponses. Elles viendront en leur temps... si elles doivent venir...

Mes questions ne sont pas différentes. Nos réponses, peut-être. Et puis après? Questions, réponses, peu importe. Apprendre et avoir envie d'apprendre, cultiver sa curiosité de l'autre, de ses réactions, ouvrir l'autre à nos actions et à ses réactions, pour qu'actions il entreprenne également.

L'essentiel est de dire...

Pour mieux se le dire...

Charte rédactionnelle



« Dire » se veut ouvert à tous les modes d’expressions et à toutes les cultures, à toutes les philosophies (même en l’absence de philosophie, ce qui bien souvent en constitue déjà une…). Seules quelques conditions doivent être respectées pour assurer un dialogue tolérant et serein.

Textes, commentaires, documents graphiques, vidéos et sonores ne seront pas publiés s’ils présentent des éléments à :

caractère pornographiquecaractère commercialcaractère diffamatoire
ou

s’ils incitent à la haine, au racisme, au sexisme, à l’homophobie

ou

s’ils présentent des problèmes quant aux droit d’auteurs

ou

s’ils expriment une opinion personnelle pas suffisamment documentée,s’ils relatent des faits faux ou non vérifiables
En espérant que ces conditions minimalistes mais fondamentales ne s’apparentent pas à de la censure mais simplement à un respect mutuel et humaniste…

Mais il fallait le… Dire !